Il était une fois ...CHLOROQUINE

Aujourd'hui je fais suite à un défi lancé par @Angeline VAGABULLE (#challenge #covid19 #laissezmoitranquilleAngelineVagabulle😁) dans son post :
... à savoir écrire un texte avec les mots imposés suivants :
« Distanciation sociale, Pangolin, Isolé, Télétravail, Réanimation, Fièvre, Test, Personnel soignant, Restez à la maison, Respirateur, Wuhan, Mangez sain, Confiné, Dépistage, Détresse respiratoire, Récession, Autorisation de sortie, Annulation, Embrassades , Reconfiné, Symptôme, Se laver les mains, Épicentre, Chloroquine, Toux, Coude, Déconfiné, Report, Chômage partiel, Dépression, Statistiques, Masque, Sport à domicile, Jogging, Laboratoire, Livraison à domicile »
Personnellement j'aime les défis 💖🤩😍 : C'est un plaisir de faire plaisir... plaisir d'offrir, joie de recevoir...🌹☘🥀🌷🌼🌻🌺💐🎀🎁🎄.... OU PAS (merci Angeline pour ce cadeau...) !!! 🥴
Je vais vous raconter l'histoire d'amour entre Wuhan la mère, Pangolin le père et Chloroquine la jolie petite fille.
Il était une fois...
La suite ici ...
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Il était une fois une petite fille prénommée « Chloroquine ». Drôle de prénom me diriez-vous ?
À la frontière entre les mots « chlorophylle » et « coquine », ses parents ont choisi ce prénom car cette petite fille symbolise à elle seule le mélange entre la fraîcheur d'une belle fleur au printemps et le tempérament fougueux d'un cheval au galop.
Elle est si jolie Chloroquine.

Pour sa mère prénommée « Wuhan » et pour son père « Pangolin », Chloroquine est un véritable remède pour lutter contre la « dépression ».
Elle est au centre de toutes les attentions, à « l'épicentre » des émotions, à l'origine de toutes les « embrassades ».
Tous les 3 habitent dans une ferme « isolée » de tout. Plus qu'une contrainte liée à une pseudo « distanciation sociale », c'est un choix, un choix de vie.
Ils sont tellement heureux de vivre ainsi.
Alors oui, certains d'entre vous diront : Moi, vivre loin de la « fièvre » de la grande ville, non merci !
Mais pour eux, vivre à la campagne est synonyme de « manger sain », d'avoir la possibilité de récolter les fruits et les légumes qu'ils aiment tellement cultiver.
Chez eux pas « de livraison à domicile » de Deliveroo ou de Uber Eats... Non, juste la possibilité de consommer de bons produits tout en « restant à la maison ».
Pangolin est commercial dans un « laboratoire » pharmaceutique.
Son métier consiste à prospecter tous les hôpitaux de France. Tantôt il est en déplacement, tantôt en « télétravail », tantôt en « chômage partiel » selon l'activité.
Il aime beaucoup son métier. D'ailleurs ce dernier est à l'origine de la rencontre avec celle qui deviendra quelques années plus tard sa chère et tendre épouse.
Rencontre que je vais à présent vous raconter : « À l'époque, Wuhan faisait partie du « personnel soignant » de l'hôpital CORONAVIRUS. Elle était infirmière dans le service « réanimation » de cet hôpital situé dans la ville de Aire-sur-l'Adour, petite commune du Sud-Ouest de la France dans le département des Landes. L'air y est si bon à Aire-sur-l'Adour !
Cette rencontre s'était faite comme toujours par le plus grand des hasards.
Pangolin avait délaissé son vieux « jogging » fétiche ; vous savez le genre de jogging de personnes qui vivent H24 avec, les sportifs du Dimanche, ceux qui privilégient le « sport à domicile » ... mais sur le canapé.

l avait donc abandonné son jogging pour se parer de son plus beau costume dans l'espoir de décrocher un contrat dans cet établissement.
Après quelques pas dans les couloirs de ce centre hospitalier, Pangolin tomba nez à nez sur Wuhan qui déambulait avec « un respirateur » destiné à un patient hospitalisé dans son service.
Son visage était caché derrière « un masque ». Difficile de savoir à quoi elle ressemblait. Il avait juste eu le temps d'apercevoir son prénom sur son badge avant d'aller rencontrer son client, le PR RAOULT.
Après avoir quitté le PR RAOULT sans avoir oublié de le remercier pour avoir accepté de le recevoir, encore le hasard me diriez-vous, non plutôt la chance je crois, Pangolin retomba à nouveau sur Wuhan qui avait quitté son masque pour laisser apparaître toute sa beauté, et là, en une fraction de seconde, sans savoir pourquoi, il commença à ressentir une sorte de « détresse respiratoire ».
Il essaya bien de lui glisser quelques mots, mais aucun son n'était parvenu à sortir de sa bouche. Pire il commença à être pris d'une « toux » sans précédent.
Pas besoin de faire « un test » ou « un dépistage », il était tombé follement amoureux de Wuhan. Avec de tels « symptômes », et sans le savoir, il venait d'augmenter « les statistiques » des personnes qui rencontrent leur moitié sur le lieu de travail.
Alors, un jour, Pangolin a pris son courage à deux mains, en ayant bien pris « soin de les laver » 😉 pour inviter Wuhan au bal du village.
Bien que très heureuse d'avoir reçu cette invitation, Wuhan, qui vivait encore chez ses parents à l'époque, avait besoin de recevoir l'approbation de ces derniers, une sorte d'« autorisation de sortie » de leur part pour pouvoir retrouver son prince charmant.
Et oui, il n'y a pas si longtemps que cela, époque nostalgique d'un amour respectueux, un homme qui souhaitait faire la cour à une demoiselle devait avoir l'autorisation des parents pour courtiser cette dernière.
Ni une ni deux, Pangolin ; avec courage (heureusement il en avait gardé « sous le coude ») ; alla chez les parents de Wuhan.
Tout au long du chemin, il craignait un refus, une « annulation » ou un « report » de ce rendez-vous.
Il ne pouvait plus attendre. Il ne voulait plus attendre.
Chaque minute, chaque seconde éloigné de Wuhan était pour lui une déchirure.
Croyez-moi, éperdument amoureux de sa belle prétendante, en aucun cas il voulait rentrer en « récession » de sentiments.
Après quelques minutes, il obtint l'aval des parents pour aller guincher (expression de quadra 😁) avec Wuhan.
Je vous laisse imaginer la suite : ils alternèrent comme 2 petites marmottes les périodes de complicité à 2, tantôt « confinés », « déconfinés » puis « reconfinés » à nouveau.
Et ce qui devait arriver arriva, après 9 mois Chloroquine était là...
D'après les dernières nouvelles, Wuhan serait enceinte... oui de triplés !
Avec son mari Pangolin, ils auraient déjà trouvé les prénoms : LIZ, CUBA et TAMI.
Drôles de prénoms me diriez-vous ?
Non, juste l'anagramme de TOCILIZUMAB... »

TO BE CONTINUED ...💖
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